WATER KNIFE
de Paolo Bacigalupi
Date de sortie : 27 octobre 2016 - Prix format broché : 23€
Pages : 496 - Editions : Au Diable Vauvert
SYNOPSIS : La guerre de l’or bleu fait rage autour du fleuve Colorado. Détective, assassin et espion, Angel Velasquez coupe l’eau pour la direction du Sud Nevada qui assure la survie de Las Vegas. Lorsque remonte à la surface la rumeur d’une nouvelle source, Angel gagne la ville dévastée de Phoenix avec une journaliste endurcie et une jeune migrante texane... Quand l’eau est plus précieuse que l’or, une seule vérité régit le désert : un homme doit saigner pour qu’un homme boive.
«Un thriller intense et visionnaire sur le siècle qui vient, peint dans toute sa douleur et sa puissance. Un coup de couteau en plein coeur.»
«Un thriller intense et visionnaire sur le siècle qui vient, peint dans toute sa douleur et sa puissance. Un coup de couteau en plein coeur.»
Kim Stanley Robinson
L'AUTEUR : Paolo Bacigalupi est devenu en quelques années la star mondiale de la SF. Son premier roman, La Fille automate, a été un choc mondial et est lauréat aux USA en 2010 des prix Nébula, Hugo, Locus et Campbell, et en France des prix des Bloggeurs, Bob Morane, Une autre terre et du Grand Prix de l’Imaginaire 2013. Auteur de formidables romans d’aventures pour les ados, il a également publié Ferrailleurs des mers, finaliste du National Book Award et lauréat du prix Michael Printz, Les Cités englouties, Zombie Ball et L’Alchimiste de Khaim. Il reçoit à nouveau en mai le Grand Prix de l’Imaginaire 2015 pour le recueil de ses nouvelles primées aux États-Unis, La Fille-flûte, un chef-d’œuvre. Tous ses livres sont parus en France au Diable Vauvert.
L'AVIS #OTAKU : Malgré mes nombreuses lectures et ce depuis mon plus jeune âge, je n'avais pas encore eu la chance de découvrir l'univers de Paolo Bacigalupi ! Grâce aux éditions Au Diable Vauvert, j'ai pu dévorer ce roman, dont le genre est entre noir et dystopie écologique. Soit un très bon thriller dont l'auteur est le plus primé de sa génération. Dès les premières lignes de Water Knife, nous rentrons dans le monde de la science-fiction, où la guerre de l'eau fait rage. Le Nevada, l'Arizona et la Californie se battent pour conserver le bien le plus cher, nommé l'or bleu. En effet, l'eau est une source qui manque dans ce futur proche. Est-ce le résultat de l'impact économique humain du changement climatique ? Paolo Bacigalupi, ne nous répond pas directement, mais met en avant ce qui pourrait se produire si l'Homme continue à ne pas prendre ses ressources naturelles comme importantes. Le personnage principal est un détective nommé Angel Velasquez, que nous suivons tout au long de sa mission donnée par sa patronne Catherine Case, qui lui assure ainsi, une survie au sein de ce monde qui ne tourne plus rond. Tout est compliqué et Case ne peut faire confiance à personne. Des rumeurs circulent et Velasquez est envoyé pour répondre à ses doutes. Lors de ce périple, il fait la rencontre de Lucy Monroe, une journaliste endurcie ainsi que de Maria Villarosa, une migrante texane qui rêve de fuir, rejoindre sa famille. Un roman remplit de rebondissement, de détails croustillants sur le business de l'eau. Quand l'eau devient plus précieuse que l'or, une seule vérité : "Quelqu'un doit saigner pour qu'un autre boive.". Pour conclure, je rajoute que les personnages qu'utilise Paolo Bacigapuli pour mettre en scène son histoire sont très attachants, ce qui fait de cette lecture une vraie aventure !
« C'était ce dont elle avait besoin. Se perdre, totalement. Être annihilée. Elle en était désespérée. Elle avait désespérément envie de se sentir vivante. De savoir qu'elle avait tout risqué et qu'elle était en vie. »
Commander vos exemplaires : Water Knife - La fille flûte (...) de Paolo Bacigalupi
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L'AVIS #OTAKU : Malgré mes nombreuses lectures et ce depuis mon plus jeune âge, je n'avais pas encore eu la chance de découvrir l'univers de Paolo Bacigalupi ! Grâce aux éditions Au Diable Vauvert, j'ai pu dévorer ce roman, dont le genre est entre noir et dystopie écologique. Soit un très bon thriller dont l'auteur est le plus primé de sa génération. Dès les premières lignes de Water Knife, nous rentrons dans le monde de la science-fiction, où la guerre de l'eau fait rage. Le Nevada, l'Arizona et la Californie se battent pour conserver le bien le plus cher, nommé l'or bleu. En effet, l'eau est une source qui manque dans ce futur proche. Est-ce le résultat de l'impact économique humain du changement climatique ? Paolo Bacigalupi, ne nous répond pas directement, mais met en avant ce qui pourrait se produire si l'Homme continue à ne pas prendre ses ressources naturelles comme importantes. Le personnage principal est un détective nommé Angel Velasquez, que nous suivons tout au long de sa mission donnée par sa patronne Catherine Case, qui lui assure ainsi, une survie au sein de ce monde qui ne tourne plus rond. Tout est compliqué et Case ne peut faire confiance à personne. Des rumeurs circulent et Velasquez est envoyé pour répondre à ses doutes. Lors de ce périple, il fait la rencontre de Lucy Monroe, une journaliste endurcie ainsi que de Maria Villarosa, une migrante texane qui rêve de fuir, rejoindre sa famille. Un roman remplit de rebondissement, de détails croustillants sur le business de l'eau. Quand l'eau devient plus précieuse que l'or, une seule vérité : "Quelqu'un doit saigner pour qu'un autre boive.". Pour conclure, je rajoute que les personnages qu'utilise Paolo Bacigapuli pour mettre en scène son histoire sont très attachants, ce qui fait de cette lecture une vraie aventure !
« C'était ce dont elle avait besoin. Se perdre, totalement. Être annihilée. Elle en était désespérée. Elle avait désespérément envie de se sentir vivante. De savoir qu'elle avait tout risqué et qu'elle était en vie. »
Extrait du roman Water Knife - pages 361.
Aimez-vous les romans dystopiques* ?
❤
*Une dystopie est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur. Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie.
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